samedi 8 décembre 2018

Conseil municipal du 05 décembre



Cela fait bien un moment  que cette majorité n’a pas été aussi agressive envers l’opposition. On s’est cru en 2014 avec de nouveau des attaques envers l’opposition et surtout son représentant, Christophe DELANNOYE.
Peu importe, vos élus d’opposition sont restés concentrés sur les sujets.
Concernant les délibérations, nous avons voté
·        POUR sur   14 délibérations
·        ABSTENTION sur 3 délibérations
·        CONTRE sur 1 délibération
Concernant le tarif camp ski, nous nous sommes abstenus car, dans la délibération, il est écrit que les enfants inscrits au LALP bénéficieront d’un tarif moins cher (350€ au lieu de 408€) car ils s’impliquent dans la vie de la collectivité.
Le fait d’être inscrit au LALP n’est, en soi, pas une garantie de participer activement à la vie citoyenne. De plus, il y a d’autres jeunes qui donnent de leur temps pour la ville. On peut citer les jeunes qui aident à la formation des enfants dans les associations sportives, les ados qui accompagnent les portes drapeaux aux manifestations patriotiques, les jeunes de l’harmonie qui font des services pour ces mêmes manifestations et enfin les enfants du conseil municipal des jeunes.
La réponse de la maire a été que ce point sera vu lors de la prochaine commission démocratie participative !!!
Le renvoi à des commissions permet surtout de ne pas répondre au sujet
Nous avons voté CONTRE sur la délibération de mise en vente du presbytère car nous pensons toujours qu’une telle vente finira de privatiser la place.
Les Bray-Dunois constatent encore maintenant que pour se garer c’est quasiment impossible entre les salles annexes, la mairie, le regroupement médical. Y ajouter des ‘’OPEN space’’ n’améliorera pas la situation.
 
 
 
 
 
Concernant la réparation du clocher de la plage nous avons voté POUR. Logique. Par contre, la dramaturgie faite sur ce point est tout simplement lamentable.
Une fois de plus, l’adjoint en charge s’appuie sur un risque de chute de la cloche pour expliquer la réparation. Pourtant, il n’y a aucun balisage de sécurité sur le parvis de l’église.
Tout comme pour la poutre de la piscine qui devait tomber et qui, 5 ans après, remplit toujours aussi efficacement ses fonctions.
Il aurait été bien plus simple d’expliquer qu’au bout de 60 ans, les joints de briques du clocher se dégradent et que les ancrages acier de la cloche sont oxydés et doivent impérativement être remplacés. Cela est clair et compréhensible et surtout c’est la réalité. Tout le cinéma autour n’est que folklore de la majorité.
 

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