La maire, dans un article de presse du
18 octobre, explique qu'il n'est pas facile de voir des commentaires ou
insultes sur les réseaux sociaux envers elle surtout pour ses proches.
Bien
sûr qu'elle a raison mais s'est-elle
posée le pourquoi de cette situation?
Son équipe a démarré en 2014 avec le
trou d'1 000 000€ mis sur le dos de l'équipe municipale précédente.
S'est-elle posée la question des familles et enfants d'élus qui
lisaient cela?
Et lorsque l'opposition en juin 2014 a
rectifié l'erreur de l'équipe de C Verlynde sur le Compte administratif 2013 de
1 600 000€ , Aucune
excuse de sa part.
Lorsque dans cette même déclaration, les
agents des services techniques sont "balancés" et désignés coupables
de la situation de l'époque, ces élus ont-ils pensé aux familles et enfants?
Toujours, dans cette déclaration pointer
du doigt les agents en longue maladie (qui relève d'une commission d'experts
médicaux !!!) de profiteurs est au minimum irrespectueux. Se sont-ils posés la question de l'impact sur
les agents concernés, leurs proches et enfants?
Depuis 2016, ce sont les Bray-Dunois eux
même qui subissent des attaques de cette majorité municipale.
·
On désigne à la
vindicte populaire des jeunes pour des cambriolages. Pourtant, certains d'entre
eux ont été blanchis par la justice. Avez-vous
vu une déclaration d'excuses pour les familles concernées? Se sont-ils posés
la question pour ces jeunes accusés à tort?
·
Idem pour les
Bray-Dunois qui émettent un avis sur la gestion municipale…
Enfin, en 2017, le feu d'artifice avec
des commentaires en début d'été à la limite du supportable nous citons entre
autre : " Fouteurs de haine".
Et de nouveau,
la question des proches et des enfants ne s'est pas posée…
Nous n'évoquerons pas les détournements
lamentables de leurs "amis" concernant le nom des élus d'opposition
sur les réseaux sociaux ni les insultes régulières d'un membre de la liste de
la maire à la sortie des conseils municipaux. Nous ne rentrerons pas dans ce jeu de la
victimisation.
Cela
ne nous empêche toutefois pas d'être dégoutés par ces comportements.Certains élus de la majorité ne se
retrouveront pas dans cet article. Cela
est certain. Toutefois, laisser publier sur la page de la majorité ou dans
la presse de tels propos signifie qu'ils cautionnent au minimum par leur
silence. Ils
doivent donc en prendre collectivement la responsabilité ou alors, se désolidariser publiquement de ces propos.
Et si à partir de 2014, l'exemplarité et le respect avaient été de mise dans la majorité municpale?
Qu'en serait-il aujourd'hui?