Intervention de l'adjoint au cadre de vie

M Legendre, a souhaité intervenir sur nos écrits du Parlons En!! N°9 de juin 2017.

Voici les points évoqués et nos réponses.

NA : Même s'il est vrai que certaines pièces prennent du temps, jusque maintenant, il n'a jamais fallu 4 mois…et un accident pour obtenir une pièce. Il reste à L'adjoint à nous fournir la facture comptable de cet achat qui, en théorie, reprend la date d'engagement (date de commande) de la pièce.

NA : Les informations ont certainement été mal transmises à l'adjoint, la demande des élus d'opposition était de finir de couper la branche dangereuse! Raison prioritaire de sécurité. C'était soit blocage des accès soit finition de la coupe de la branche… Pas de l'arbre. C'est la municipalité qui a pris la décision de réaliser des travaux d'abattage en remplacement d'une société privée. Pourtant, les agents de la ville ont bien assez à faire sans intervenir chez les particuliers.

NA : Mauvais exemple que celui du défibrillateur de la salle des sports.

En effet, M Delannoye a été responsable des travaux durant 2 ans et durant cette période, le défibrillateur du stade est tombé en panne (batterie).

A l'annonce de cette panne, contact a été pris pour commander la pièce avec un délai de 30 jours. L'élu est donc intervenu afin de mettre en place provisoirement une batterie d'occasion afin de refaire fonctionner l'appareil.

Le défibrillateur a été remis en service en 6 jours….

De plus, durant cette semaine de panne, une affiche avait été apposée près du défibrillateur pour indiquer celui le plus proche. Cela a-t-il été fait pour celui de la salle des sports?

Il faut garder à l'esprit que lorsque un habitant va chercher ce type d'appareil, il est sous pression et n'a pas le temps de réfléchir car la vie d'un proche est en jeu.

Afin d'aller dans ce sens, nous proposons la pose d'un panneau près de chaque défibrillateur pour indiquer celui le plus proche.

NA : Il est normal de faire baisser les consommations par des investissements c'est pour cela que nous sommes intervenus à plusieurs reprises en conseil municipal. Il a fallu 2 ans pour que la majorité entende cette évidence.  cela explique aussi pourquoi nous avons voté pour ces investissements.

Par contre, il est regrettable que les relevés réguliers de compteur par les services techniques afin de vérifier la possibilité de fuites non visibles ait été abandonnées à l'été 2014… Cette action avait été mise en place suite à une fuite sur une canalisation d'eau d'une école et au cimetière. La continuité de cette action mise en place début 2013 aurait évité les dérives de 2014 à 2016. La reprise des relevés ne s'est faite qu'en 2016 (annonce en conseil de l'adjointe aux finances suite à une nouvelle intervention de notre part)

NA : Il est exact que le tracé de la rue et sa répartition sont conformes à la préparation de l'équipe municipale précédente. Conforme ... sauf le revêtement des aires de stationnement en gravier qui va porter préjudice à la tenue dans le temps car les mauvaises herbes ne pourront être éliminées faute de produit compatible et l'arrachage sera impossible sauf à retirer les caillebotis. Nous avions prévu un revêtement engazonné comme à l'entrée de la rue saint Pierre aussi efficace, bien plus pratique et facile d'entretien.

Vos informations ne sont pas exactes concernant la rue des margats car une seule grille était colmatée du fait de l'accumulation d'aiguilles de pins et de sable provenant du minigolf. Pourtant, ce n'est pas faute de l'avoir souligné dans nos publications sur la propreté des différents secteurs de la ville. Des riverains sont intervenus pour dégager la grille et l'accumulation d'eau s'est résorbé en quelques minutes sans réaliser de dégâts.

Ce n'est pas parce que des secteurs de la ville sont inondés qu'il faut rester à regarder la situation et baisser les bras comme une fatalité. L'exemple de la rue des Margats en est l'exemple. C'est par plus de 10 ans de travaux, de modifications techniques d'essais de matériaux que l'ancien élu aux travaux a réussi, avec la CUD, à résoudre la problématique.

Et cela est pareil pour le second secteur évoqué (jeanne d'Arc, Saint Pierre Decock). Répondre aux riverains par la fatalité n'est certainement pas la bonne réponse.