vendredi 27 octobre 2017

L'exemplarité remède à la victimisation?


La maire, dans un article de presse du 18 octobre, explique qu'il n'est pas facile de voir des commentaires ou insultes sur les réseaux sociaux envers elle surtout pour ses proches.
Bien sûr qu'elle a raison mais s'est-elle posée le pourquoi de cette situation?
 
 
 
 
Son équipe a démarré en 2014 avec le trou d'1 000 000€ mis sur le dos de l'équipe municipale précédente.
S'est-elle posée la question des familles et enfants d'élus qui lisaient cela?
Et lorsque l'opposition en juin 2014 a rectifié l'erreur de l'équipe de C Verlynde sur le Compte administratif 2013 de 1 600 000€ , Aucune excuse de sa part.
 
Lorsqu'en juin 2015, M Lenoire, au nom de la majorité actuelle, accuse les agents de la ville d'avoir été embauchés sur la base de l'assistanat, cette majorité s'est-elle préoccupée des familles et enfants des agents?
Lorsque dans cette même déclaration, les agents des services techniques sont "balancés" et désignés coupables de la situation de l'époque, ces élus ont-ils pensé aux familles et enfants?
Toujours, dans cette déclaration pointer du doigt les agents en longue maladie (qui relève d'une commission d'experts médicaux !!!) de profiteurs est au minimum irrespectueux. Se sont-ils posés la question de l'impact sur les agents concernés, leurs proches et enfants?
Depuis 2016, ce sont les Bray-Dunois eux même qui subissent des attaques de cette majorité municipale.
·        On désigne à la vindicte populaire des jeunes pour des cambriolages. Pourtant, certains d'entre eux ont été blanchis par la justice. Avez-vous vu une déclaration d'excuses pour les familles concernées? Se sont-ils posés la question pour ces jeunes accusés à tort?
·        Idem pour les Bray-Dunois qui émettent un avis sur la gestion municipale…

Enfin, en 2017, le feu d'artifice avec des commentaires en début d'été à la limite du supportable nous citons entre autre : " Fouteurs de haine". Et de nouveau, la question des proches et des enfants ne s'est pas posée…

Nous n'évoquerons pas les détournements lamentables de leurs "amis" concernant le nom des élus d'opposition sur les réseaux sociaux ni les insultes régulières d'un membre de la liste de la maire à la sortie des conseils municipaux. Nous ne rentrerons pas dans ce jeu de la victimisation.
Cela ne nous empêche toutefois pas d'être dégoutés par ces comportements.Certains élus de la majorité ne se retrouveront pas dans cet article. Cela est certain. Toutefois, laisser publier sur la page de la majorité ou dans la presse de tels propos signifie qu'ils cautionnent au minimum par leur silence. Ils doivent donc en prendre collectivement la responsabilité ou alors, se désolidariser publiquement de ces propos.
Et si à partir de 2014, l'exemplarité et le respect avaient été de mise dans la majorité municpale?
Qu'en serait-il aujourd'hui?

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